Galerie des speechs de Cesaro
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Galerie des speechs de Cesaro
[En direct du jet privé d’Antonio Cesaro, quelque part au-dessus du Nevada. On peut voir Antonio disputer une partie de poker avec l’un de ses hommes de main. La caméra le filme en gros plan et on peut entendre une voix off féminine lui poser des questions.]
Voix off : Bonjour monsieur Cesaro. La semaine dernière fût riche en rebondissements. Vous avez remporté votre contrat avec succès. Qu’avez-vous à dire là-dessus ?
Antonio Cesaro : Oui madame, en effet. Ce que j’ai à dire, c’est qu’Austin Aries n’a pas eu le temps de me toucher. Mais maintenant, je dois me concentrer sur ma partie de poker.
[Un homme de main apporte une enveloppe au chef de la mafia, Antonio Cesaro. Il l’ouvre, et découvre un nouveau contrat contre scotty 2 hotty. Il reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Vous savez ce qu’est un coup de poker ? C’est de tout miser sur un full alors que votre adversaire a un carré. Scotty mise tout sur le combat de cette semaine. Mais il doit connaitre cette règle de base. Le carré bat le full, le full bat la couleur, et ainsi de suite. [Antonio abat ses cartes, son adversaire fait de même.] Vous voyez ? J’ai un carré alors que mon adversaire à un full. C’est ce qui va se passer lors de mon combat contre le jobbeur professionnel, Scotty. Je vais lui apprendre à se taire et lui passer l’envie de se prendre pour un personnage de dessin animé. Monsieur, allez dire au pilote de se poser ici.
[Le jet se pose à l’aéroport de Las Vegas. Une limousine attend Antonio Cesaro. Il monte à l’intérieur et reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Nous y voilà, dans la ville du jeu. Savez-vous que l’autre nom de cette ville est Sin City ? Scotty risque de perdre plus que son argent ici. Regardez, il y a des casinos partout. La plupart appartiennent à la Cesaro Enterprise. Lors de son premier match, il s’est fait attraper pendanr qu’il rentrait dans les couloirs de la DWF. Ce fût un fiasco total. Mais cette fois-ci, cela va être différent.
[La limousine s’arrête devant un luxueux casino. Antonio descend ainsi que ses hommes de main. Tous d’eux pénètrent à l’intérieur. Ils se font stopper par le vigile.]
Le vigile : Bonjour monsieur, vous n’avez pas le droit de rentrer ici, c’est privé.
Antonio Cesaro : C’est marrant. J’allais dire la même chose à Scotty. Sauf que ce casino m’appartient. Donc j’estime que j’ai le droit d’entrée. Donc, tu vas gentiment me laisser passer si tu ne veux pas te retrouver à nettoyer les toilettes du jobbeur professionnel. Ce qui n’est pas gratifiant, je dois l’admettre. Après, si tu veux vraiment le faire, il suffit de me le dire. [Le vigile s’écarte.] Que c’est beau ici. C’est à mon image. Cet endroit sent la réussite, mon pouvoir que j’ai sur tous ces gens. Mais Scotty ne semble pas l’avoir compris. Il veut se dresser sur mon chemin. Mais ce qu’il doit savoir, c’est qu’il me suffit d’appeler un numéro pour qu’il se retrouve à dormir sous les ponts. Sans un dollar en poche. Mais je ne suis pas comme ça. Je veux un combat d’homme à homme. En tout bien tout honneur. C’est une belle journée pour toucher des millions de dollars.
[Un homme s’approche d’Antonio pour disputer une partie de poker.]
Joueur de poker : Bonjour monsieur, que diriez-vous de disputer une partie de poker en heads-up. On va voir si vous bluffez aussi bien que vous le dites.
Antonio Cesaro : Je ne suis pas un bluffeur. Quand je dis que je vais mettre un terme à la carrière de Scotty, je vais le faire. Mais si tu tiens vraiment à perdre ton argent, pas de soucis, on va faire une partie de poker. Mais je ne joue pas avec des petits jobbeurs comme toi. Regarde autour de toi. Des joueurs n’attendent que ça. Mais moi, ce que j’attends, c’est de voir Scotty pleurer toutes les larmes de son corps quand je l’aurais mis à tapis. On va voir de quoi il sera capable quand il n’aura plus un jeton en poche. Mais il doit aussi savoir que si je perds mon contrat, cela pourrait me contrarier fortement.
[Antonio s’installe dans un carré VIP et allume un cigare. Une serveuse s’approche et lui sert un verre de vieux scotch. Antonio sourit, boit une gorgée et reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Vous voyez madame, Scotty n’a pas accès à tout cela. Le confort, le bon vieux scotch comme je l’aime. Même mes cigares valent plus cher que sa tête. Je pourrais me passer de faire ce contrat. Mais il a voulu jouer dans la cour des grands. Maintenant, il s’assume. Prenons comme exemple une fille que j’ai connue. Elle est jeune, a toute sa vie devant elle. Mais elle est quelque peu embêtante. Elle s’est amusée à semer la zizanie au sein de mon entreprise. Mais il a suffit de cinq minutes pour quelle retourne chez elle sans même oser ouvrir la bouche. Je vais faire de même cette semaine. Le jobbeur veut mettre le bordel chez moi ? Pas de soucis. C’est étrange, mais l’odeur de sa défaite sent à plein nez. Si j’étais à ta place Scotty, je ne dormirais pas tranquille.
Voix off : C’était Antonio Cesaro en direct du casino. Merci de nous avoir suivi et à bientôt.
[Fin de transmission.]
Voix off : Bonjour monsieur Cesaro. La semaine dernière fût riche en rebondissements. Vous avez remporté votre contrat avec succès. Qu’avez-vous à dire là-dessus ?
Antonio Cesaro : Oui madame, en effet. Ce que j’ai à dire, c’est qu’Austin Aries n’a pas eu le temps de me toucher. Mais maintenant, je dois me concentrer sur ma partie de poker.
[Un homme de main apporte une enveloppe au chef de la mafia, Antonio Cesaro. Il l’ouvre, et découvre un nouveau contrat contre scotty 2 hotty. Il reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Vous savez ce qu’est un coup de poker ? C’est de tout miser sur un full alors que votre adversaire a un carré. Scotty mise tout sur le combat de cette semaine. Mais il doit connaitre cette règle de base. Le carré bat le full, le full bat la couleur, et ainsi de suite. [Antonio abat ses cartes, son adversaire fait de même.] Vous voyez ? J’ai un carré alors que mon adversaire à un full. C’est ce qui va se passer lors de mon combat contre le jobbeur professionnel, Scotty. Je vais lui apprendre à se taire et lui passer l’envie de se prendre pour un personnage de dessin animé. Monsieur, allez dire au pilote de se poser ici.
[Le jet se pose à l’aéroport de Las Vegas. Une limousine attend Antonio Cesaro. Il monte à l’intérieur et reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Nous y voilà, dans la ville du jeu. Savez-vous que l’autre nom de cette ville est Sin City ? Scotty risque de perdre plus que son argent ici. Regardez, il y a des casinos partout. La plupart appartiennent à la Cesaro Enterprise. Lors de son premier match, il s’est fait attraper pendanr qu’il rentrait dans les couloirs de la DWF. Ce fût un fiasco total. Mais cette fois-ci, cela va être différent.
[La limousine s’arrête devant un luxueux casino. Antonio descend ainsi que ses hommes de main. Tous d’eux pénètrent à l’intérieur. Ils se font stopper par le vigile.]
Le vigile : Bonjour monsieur, vous n’avez pas le droit de rentrer ici, c’est privé.
Antonio Cesaro : C’est marrant. J’allais dire la même chose à Scotty. Sauf que ce casino m’appartient. Donc j’estime que j’ai le droit d’entrée. Donc, tu vas gentiment me laisser passer si tu ne veux pas te retrouver à nettoyer les toilettes du jobbeur professionnel. Ce qui n’est pas gratifiant, je dois l’admettre. Après, si tu veux vraiment le faire, il suffit de me le dire. [Le vigile s’écarte.] Que c’est beau ici. C’est à mon image. Cet endroit sent la réussite, mon pouvoir que j’ai sur tous ces gens. Mais Scotty ne semble pas l’avoir compris. Il veut se dresser sur mon chemin. Mais ce qu’il doit savoir, c’est qu’il me suffit d’appeler un numéro pour qu’il se retrouve à dormir sous les ponts. Sans un dollar en poche. Mais je ne suis pas comme ça. Je veux un combat d’homme à homme. En tout bien tout honneur. C’est une belle journée pour toucher des millions de dollars.
[Un homme s’approche d’Antonio pour disputer une partie de poker.]
Joueur de poker : Bonjour monsieur, que diriez-vous de disputer une partie de poker en heads-up. On va voir si vous bluffez aussi bien que vous le dites.
Antonio Cesaro : Je ne suis pas un bluffeur. Quand je dis que je vais mettre un terme à la carrière de Scotty, je vais le faire. Mais si tu tiens vraiment à perdre ton argent, pas de soucis, on va faire une partie de poker. Mais je ne joue pas avec des petits jobbeurs comme toi. Regarde autour de toi. Des joueurs n’attendent que ça. Mais moi, ce que j’attends, c’est de voir Scotty pleurer toutes les larmes de son corps quand je l’aurais mis à tapis. On va voir de quoi il sera capable quand il n’aura plus un jeton en poche. Mais il doit aussi savoir que si je perds mon contrat, cela pourrait me contrarier fortement.
[Antonio s’installe dans un carré VIP et allume un cigare. Une serveuse s’approche et lui sert un verre de vieux scotch. Antonio sourit, boit une gorgée et reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Vous voyez madame, Scotty n’a pas accès à tout cela. Le confort, le bon vieux scotch comme je l’aime. Même mes cigares valent plus cher que sa tête. Je pourrais me passer de faire ce contrat. Mais il a voulu jouer dans la cour des grands. Maintenant, il s’assume. Prenons comme exemple une fille que j’ai connue. Elle est jeune, a toute sa vie devant elle. Mais elle est quelque peu embêtante. Elle s’est amusée à semer la zizanie au sein de mon entreprise. Mais il a suffit de cinq minutes pour quelle retourne chez elle sans même oser ouvrir la bouche. Je vais faire de même cette semaine. Le jobbeur veut mettre le bordel chez moi ? Pas de soucis. C’est étrange, mais l’odeur de sa défaite sent à plein nez. Si j’étais à ta place Scotty, je ne dormirais pas tranquille.
Voix off : C’était Antonio Cesaro en direct du casino. Merci de nous avoir suivi et à bientôt.
[Fin de transmission.]
Invité- Invité
Re: Galerie des speechs de Cesaro
[En direct du manoir privé d’Antonio Cesaro, quelque part en Pennsylvanie. La mystérieuse voix off de la semaine dernière interroge Antonio sur sa victoire de la semaine précédente.]
Mysterious voice off : Bonjour Mr Cesaro. Que dire. Vos contrats victorieux s’enchainent. La première semaine que vous avez fait votre entrée ici, une victoire. Contre Scotty 2 Hotty, également. Décidément, rien ne vous arrête. Mais cette fois-ci, c’est sur Kevin Owens que vous avez un contrat. Comment appréhendez-vous ce dernier ?
Antonio Cesaro : Disons que j’ai beaucoup de respect pour Kevin Owens. C’est vrai. Durant l’ère de la WWE, il fût plusieurs fois vainqueur. Mais… Cette fédération a fermé ses portes. Maintenant, il est à la DWF. Et je suis là pour lui barrer la route. Je ne prends pas ce contrat comme je devrais le prendre. Je ne compte pas toucher des millions. Je veux juste le voir à l’œuvre sur un ring. Je veux voir ce qu’il a dans les tripes.
Mysterious voice off : Donc, si je comprends bien, l’argent ne vous intéresse pas pour cette semaine.
Antonio Cesaro : Parce que vous avez cru que j’étais sérieux quand je disais que l’argent ne m’intéresse pas ? C’était pour faire un peu d’humour. Evidemment que je suis intéressé par le pactole. D’accord, Kevin Owen a eu des victoires. Mais son moment de gloire va s’arrêter cette semaine. Messieurs, préparez le Jet. On se rend à Marieville, au Québec.
[Les hommes de main et Antonio Cesaro embarquent dans le Jet, ainsi que la propriétaire de la mystérieuse voix. Antonio boit un whisky, fume un cigare et reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Vous savez ce qui cloche chez Kevin Owens ? C’est sa façon de parler. Il est brut, sans vraies valeurs. Il se dit le visage de la DWF. Et il en rajoute une couche quand il dit qu’il veut devenir LE lutteur de sa génération. Non non non. Kevin peut tirer un trait sut out cela. Non-seulement il ne va pas être tout ce qu’il prétend. Mais je vais aussi mettre un terme à sa carrière. Tout ce qui l’intéresse, c’est la violence, la violence et la violence. Mais on ne joue pas au méchant avec moi. Cela me contrarie. Il veut un combat d’homme à homme ? Aucun problème. Je répondrais présent. Disons que pour cerner le problème Owens, il faut se rendre sur sa terre natale.
Mysterious voice off : Votre humour m’a fait rire. Que voulez-vous faire à Marieville monsieur Cesaro ? Car j’imagine que ce n’est pas pour une promenade de santé.
Antonio Cesaro : Ce qu’il ne sait pas. C’est que mon entreprise s’étend jusqu’ici. J’ai pas mal de contacts dans cette ville. Si je veux, je peux gagner ce contrat juste en appelant quelques hommes. Mais cela serait lâche de ma part. Je veux un combat entre hommes. Ma devise, ce n’est pas d’armes. Juste mes compétences au combat feront l’affaire. Je vais juste lui faire savoir qui je suis. S’il veut la victoire, il faudra qu’il sache comment s’y prendre.
[Après quelques heures d’avion, le pilote se pose dans un aéroport secret. Antonio et ses hommes en descendent.]
Antonio Cesaro : Nous y voilà. Kevin Owens, si j’étais à ta place, je commencerais par faire profil bas. Car je suis chez moi. Même au-delà des Etats-Unis. Si j’ai envie, je peux même être chez toi sans que tu le saches. Mais crois-moi, quand je dis que c’est sur un ring, c’est sur un ring. Je vais t’apprendre à te taire devant ton public. Ils auront un prétexte de plus à te détester. Avec moi, le jeu du méchant ne fonctionne pas. Plusieurs personnes ont voulu semer la pagaille dans mon entreprise. Mais ces personnes ont appris les bonnes manières et ont su se tenir à distance. Je ne connais ni la gentillesse, ni la méchanceté. Encore une bonne semaine pour remporter un contrat avec des millions à la clé. Si j’étais à ta place, je ne dormirais pas tranquille.
Mysterious voice off: C'est sur ces propos fracassants que nous nous quittons. A très bientôt.
[Fin de transmission.]
Mysterious voice off : Bonjour Mr Cesaro. Que dire. Vos contrats victorieux s’enchainent. La première semaine que vous avez fait votre entrée ici, une victoire. Contre Scotty 2 Hotty, également. Décidément, rien ne vous arrête. Mais cette fois-ci, c’est sur Kevin Owens que vous avez un contrat. Comment appréhendez-vous ce dernier ?
Antonio Cesaro : Disons que j’ai beaucoup de respect pour Kevin Owens. C’est vrai. Durant l’ère de la WWE, il fût plusieurs fois vainqueur. Mais… Cette fédération a fermé ses portes. Maintenant, il est à la DWF. Et je suis là pour lui barrer la route. Je ne prends pas ce contrat comme je devrais le prendre. Je ne compte pas toucher des millions. Je veux juste le voir à l’œuvre sur un ring. Je veux voir ce qu’il a dans les tripes.
Mysterious voice off : Donc, si je comprends bien, l’argent ne vous intéresse pas pour cette semaine.
Antonio Cesaro : Parce que vous avez cru que j’étais sérieux quand je disais que l’argent ne m’intéresse pas ? C’était pour faire un peu d’humour. Evidemment que je suis intéressé par le pactole. D’accord, Kevin Owen a eu des victoires. Mais son moment de gloire va s’arrêter cette semaine. Messieurs, préparez le Jet. On se rend à Marieville, au Québec.
[Les hommes de main et Antonio Cesaro embarquent dans le Jet, ainsi que la propriétaire de la mystérieuse voix. Antonio boit un whisky, fume un cigare et reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Vous savez ce qui cloche chez Kevin Owens ? C’est sa façon de parler. Il est brut, sans vraies valeurs. Il se dit le visage de la DWF. Et il en rajoute une couche quand il dit qu’il veut devenir LE lutteur de sa génération. Non non non. Kevin peut tirer un trait sut out cela. Non-seulement il ne va pas être tout ce qu’il prétend. Mais je vais aussi mettre un terme à sa carrière. Tout ce qui l’intéresse, c’est la violence, la violence et la violence. Mais on ne joue pas au méchant avec moi. Cela me contrarie. Il veut un combat d’homme à homme ? Aucun problème. Je répondrais présent. Disons que pour cerner le problème Owens, il faut se rendre sur sa terre natale.
Mysterious voice off : Votre humour m’a fait rire. Que voulez-vous faire à Marieville monsieur Cesaro ? Car j’imagine que ce n’est pas pour une promenade de santé.
Antonio Cesaro : Ce qu’il ne sait pas. C’est que mon entreprise s’étend jusqu’ici. J’ai pas mal de contacts dans cette ville. Si je veux, je peux gagner ce contrat juste en appelant quelques hommes. Mais cela serait lâche de ma part. Je veux un combat entre hommes. Ma devise, ce n’est pas d’armes. Juste mes compétences au combat feront l’affaire. Je vais juste lui faire savoir qui je suis. S’il veut la victoire, il faudra qu’il sache comment s’y prendre.
[Après quelques heures d’avion, le pilote se pose dans un aéroport secret. Antonio et ses hommes en descendent.]
Antonio Cesaro : Nous y voilà. Kevin Owens, si j’étais à ta place, je commencerais par faire profil bas. Car je suis chez moi. Même au-delà des Etats-Unis. Si j’ai envie, je peux même être chez toi sans que tu le saches. Mais crois-moi, quand je dis que c’est sur un ring, c’est sur un ring. Je vais t’apprendre à te taire devant ton public. Ils auront un prétexte de plus à te détester. Avec moi, le jeu du méchant ne fonctionne pas. Plusieurs personnes ont voulu semer la pagaille dans mon entreprise. Mais ces personnes ont appris les bonnes manières et ont su se tenir à distance. Je ne connais ni la gentillesse, ni la méchanceté. Encore une bonne semaine pour remporter un contrat avec des millions à la clé. Si j’étais à ta place, je ne dormirais pas tranquille.
Mysterious voice off: C'est sur ces propos fracassants que nous nous quittons. A très bientôt.
[Fin de transmission.]
Invité- Invité
Re: Galerie des speechs de Cesaro
[Antonio Cesaro est dans une salle d’interrogatoire, tourné vers une fenêtre. La défaite de la semaine dernière contre Kevin Owens lui a laissé un mauvais goût amer. Mais le mafieux reste neutre. Sur la table, qui se trouve au milieu de la pièce, est posée une mallette semblable à celle du money in the bank. Un individu rentre alors dans la pièce et prend place autour de la table. Antonio s’assoit face à lui, ouvre la mallette et prend la parole.]
Antonio Cesaro : Cette semaine n’est pas comme les autres. Même si la semaine dernière, j’ai perdu très gros contre Kevin Owens. Le contrat ne s’est pas passé comme prévu. [Antonio sort une feuille où il ya a la photo du Miz.] Tu vois, c’est à cause de lui que j’ai perdu. Il se croit la star depuis qu’il m’a fait ça. Mais je reste confiant. Même s’il a fait quelques films, moi je ne suis pas un acteur. Je ne suis pas comme Jason Statham. Je ne m’invente pas un personnage comme lui.
Individu n°1 : Xander : Je ne le connais pas trop. Je sais qu’il est combattant à la DWF. Mais c’est tout.
Antonio Cesaro : Allez, fais donc un petit effort. Il est pistonné de tous les côtés. Il triche. Ce n’est pas un homme de valeur. Et ça, je vais lui faire savoir cette semaine sur le ring. Pas de tricheries ni de coups bas. Il va poser les pieds au mauvais endroit car JE serais sur son chemin, entre la mallette et lui. S’il veut la décrocher, il faudra qu’il me passe dessus. Tu peux disposer.
[Le premier individu quitte la pièce. Antonio déchire la première feuille et en prend une deuxième. Il s’agit d’un contrat contre le jobbeur, Scotty 2 Hotty. Antonio sourit. Un deuxième individu, de sexe féminin entre dans la pièce. Antonio reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Asseyez-vous madame. Connaissez-vous Scotty 2 Hotty ? Je l’ai vaincu la deuxième semaine après mon entrée ici. Je me souviens de lui. Je vais encore gagner contre lui. S’il veut remettre le couvert, je serais présent. Mais il y a un problème. Car il n’y aura pas que lui et moi sur le ring. Mais j’ai toujours appris à faire les choses une par une.
Individu n°2 : Chacha : Non, je ne le connais pas. Je ne regarde pas trop la lutte.
Antonio Cesaro : Laisses-moi te rafraichir la mémoire. Il parle pour ne rien dire. C’est un fichu jobbeur qui vient juste pour faire acte de présence. Mais je ne suis pas dupe. Il a voulu jouer aux hommes face à moi, il a perdu son temps et J’AI gagné quelques millions. La semaine, on lui a donné une grosse opportunité. Mais à moi, rien. Cela me contrarie fortement. Maintenant, tu te souviens ? Ou il faut que je te réexplique à nouveau.
[L’individu n°2 se lève et s’en va. Antonio allume un cigare et se sert un verre de whisky. Une autre personne entre. Antonio sort une nouvelle feuille avec la photo de Baron Corbin et reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Le nouveau venu dans cette fed. Baron Corbin. Celui qui se croit dans un film d’horreur. Tu le connais ou il faut que je t’explique comment est cet homme.
Individu n°3 : Jérôme : Oui, en effet, je l’ai déjà vu sur sa moto en train de sillonner les routes. Je pense qu’il a trop regardé la liste de Shindler. Il me fait assez peur.
Antonio Cesaro : Ne me dit pas que tu as peur de cet homme ? Je vais juste t’expliquer ce qu’il fait. Effectivement, il se promène avec une liste. Il se croit le motard de la fin des temps. Mais c’est juste une pâle copie de l’Undertaker à l’époque où il était lui aussi sur une moto et Raven. Mais quelque part, je suis un peu comme lui. Sauf que moi, je reste dans le rationnel. Chaque contrat me rapporte pas mal d’argent. Mon entreprise sent la réussite. Mais en parlant de Baron, que lui apporte sa liste ? Juste une nouvelle victime à son actif. Mais une moto a besoin d’essence pour rouler. Et moi, j’ai besoin d’argent pour décrocher d’autres contrats.
[L’individu n°3 quitte à son tour la pièce. Antonio Cesaro prend une gorgée de whisky. Un autre individu entre à son tour dans la pièce. Cet homme est un peu plus âgé que les autres. Ses cheveux sont blancs. Il s’asseoit. Antonio reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Connais-tu Kevin Owens ? Il a gagné en choisissant la solution de facilité. Grâce au Miz. Mais je ne vais pas m’attarder sur la star. Je vais t’expliquer des choses sur Kevin Owens. Il est issu de la WWE. Il brillait sous les feux de la rampe. Mais cette fédération a fermé ses portes. Il a voulu rentrer ici en espérant gagner. Et il a réussi quelques fois. Mais cela doit cesser. Sa série de victoires va s’interrompre face à moi. Qu’as-tu à dire là-dessus ?
Individu n°4 : Dominic : Que dire ? J’ai déjà vu ses exploits. Faites attention à vous. Il est fort. Le ring est comme sa maison.
Antonio Cesaro : Je le sais ça. Et c’est justement sur SON ring que je vais décrocher ce contrat. Car il ne sera pas comme les autres. Celui-là pourrait augmenter mon pourcentage sur chaque nouvelle tête. Tu sais, il suffit d’avoir de la jugeote. Kevin Owens ne résonne que par la violence. Moi, je ne résonne que par la neutralité. Je reste neutre quoi qu’il arrive.
[L’individu s’en va. Antonio Cesaro esquisse un sourire. Il sort de la mallette une nouvelle feuille avec quatre points d’interrogation. Il semble confiant et ne s’inquiète pas outre mesure. Il semble avoir une petite idée. Il reprend la parole.]
Antonio Cesaro : J’en étais sûr. Quatre contrats fantômes. Je pense avoir une idée de qui il peut s’agir. Mais je ne vais pas brûler les étapes. Je vais appeler quelques un de mes contacts. [Antonio passe un coup de fil. On peut entendre la conversation.] Donc, si je comprends bien, les quatre contrats fantômes sont Aj Styles, Roman Reigns, Sin Cara et Broklin Brawler… Merci… Oui oui, je compte bien mettre un terme à leur carrière. [Antonio raccroche le téléphone.] Vous savez vous quatre. Vous pouvez toujours vous cacher. Mais… Toutes les bonnes choses ont une fin. Et votre carrière va s’arrêter cette semaine. Si j’étais à votre place, je ne dormirais pas tranquille.
Antonio Cesaro : Cette semaine n’est pas comme les autres. Même si la semaine dernière, j’ai perdu très gros contre Kevin Owens. Le contrat ne s’est pas passé comme prévu. [Antonio sort une feuille où il ya a la photo du Miz.] Tu vois, c’est à cause de lui que j’ai perdu. Il se croit la star depuis qu’il m’a fait ça. Mais je reste confiant. Même s’il a fait quelques films, moi je ne suis pas un acteur. Je ne suis pas comme Jason Statham. Je ne m’invente pas un personnage comme lui.
Individu n°1 : Xander : Je ne le connais pas trop. Je sais qu’il est combattant à la DWF. Mais c’est tout.
Antonio Cesaro : Allez, fais donc un petit effort. Il est pistonné de tous les côtés. Il triche. Ce n’est pas un homme de valeur. Et ça, je vais lui faire savoir cette semaine sur le ring. Pas de tricheries ni de coups bas. Il va poser les pieds au mauvais endroit car JE serais sur son chemin, entre la mallette et lui. S’il veut la décrocher, il faudra qu’il me passe dessus. Tu peux disposer.
[Le premier individu quitte la pièce. Antonio déchire la première feuille et en prend une deuxième. Il s’agit d’un contrat contre le jobbeur, Scotty 2 Hotty. Antonio sourit. Un deuxième individu, de sexe féminin entre dans la pièce. Antonio reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Asseyez-vous madame. Connaissez-vous Scotty 2 Hotty ? Je l’ai vaincu la deuxième semaine après mon entrée ici. Je me souviens de lui. Je vais encore gagner contre lui. S’il veut remettre le couvert, je serais présent. Mais il y a un problème. Car il n’y aura pas que lui et moi sur le ring. Mais j’ai toujours appris à faire les choses une par une.
Individu n°2 : Chacha : Non, je ne le connais pas. Je ne regarde pas trop la lutte.
Antonio Cesaro : Laisses-moi te rafraichir la mémoire. Il parle pour ne rien dire. C’est un fichu jobbeur qui vient juste pour faire acte de présence. Mais je ne suis pas dupe. Il a voulu jouer aux hommes face à moi, il a perdu son temps et J’AI gagné quelques millions. La semaine, on lui a donné une grosse opportunité. Mais à moi, rien. Cela me contrarie fortement. Maintenant, tu te souviens ? Ou il faut que je te réexplique à nouveau.
[L’individu n°2 se lève et s’en va. Antonio allume un cigare et se sert un verre de whisky. Une autre personne entre. Antonio sort une nouvelle feuille avec la photo de Baron Corbin et reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Le nouveau venu dans cette fed. Baron Corbin. Celui qui se croit dans un film d’horreur. Tu le connais ou il faut que je t’explique comment est cet homme.
Individu n°3 : Jérôme : Oui, en effet, je l’ai déjà vu sur sa moto en train de sillonner les routes. Je pense qu’il a trop regardé la liste de Shindler. Il me fait assez peur.
Antonio Cesaro : Ne me dit pas que tu as peur de cet homme ? Je vais juste t’expliquer ce qu’il fait. Effectivement, il se promène avec une liste. Il se croit le motard de la fin des temps. Mais c’est juste une pâle copie de l’Undertaker à l’époque où il était lui aussi sur une moto et Raven. Mais quelque part, je suis un peu comme lui. Sauf que moi, je reste dans le rationnel. Chaque contrat me rapporte pas mal d’argent. Mon entreprise sent la réussite. Mais en parlant de Baron, que lui apporte sa liste ? Juste une nouvelle victime à son actif. Mais une moto a besoin d’essence pour rouler. Et moi, j’ai besoin d’argent pour décrocher d’autres contrats.
[L’individu n°3 quitte à son tour la pièce. Antonio Cesaro prend une gorgée de whisky. Un autre individu entre à son tour dans la pièce. Cet homme est un peu plus âgé que les autres. Ses cheveux sont blancs. Il s’asseoit. Antonio reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Connais-tu Kevin Owens ? Il a gagné en choisissant la solution de facilité. Grâce au Miz. Mais je ne vais pas m’attarder sur la star. Je vais t’expliquer des choses sur Kevin Owens. Il est issu de la WWE. Il brillait sous les feux de la rampe. Mais cette fédération a fermé ses portes. Il a voulu rentrer ici en espérant gagner. Et il a réussi quelques fois. Mais cela doit cesser. Sa série de victoires va s’interrompre face à moi. Qu’as-tu à dire là-dessus ?
Individu n°4 : Dominic : Que dire ? J’ai déjà vu ses exploits. Faites attention à vous. Il est fort. Le ring est comme sa maison.
Antonio Cesaro : Je le sais ça. Et c’est justement sur SON ring que je vais décrocher ce contrat. Car il ne sera pas comme les autres. Celui-là pourrait augmenter mon pourcentage sur chaque nouvelle tête. Tu sais, il suffit d’avoir de la jugeote. Kevin Owens ne résonne que par la violence. Moi, je ne résonne que par la neutralité. Je reste neutre quoi qu’il arrive.
[L’individu s’en va. Antonio Cesaro esquisse un sourire. Il sort de la mallette une nouvelle feuille avec quatre points d’interrogation. Il semble confiant et ne s’inquiète pas outre mesure. Il semble avoir une petite idée. Il reprend la parole.]
Antonio Cesaro : J’en étais sûr. Quatre contrats fantômes. Je pense avoir une idée de qui il peut s’agir. Mais je ne vais pas brûler les étapes. Je vais appeler quelques un de mes contacts. [Antonio passe un coup de fil. On peut entendre la conversation.] Donc, si je comprends bien, les quatre contrats fantômes sont Aj Styles, Roman Reigns, Sin Cara et Broklin Brawler… Merci… Oui oui, je compte bien mettre un terme à leur carrière. [Antonio raccroche le téléphone.] Vous savez vous quatre. Vous pouvez toujours vous cacher. Mais… Toutes les bonnes choses ont une fin. Et votre carrière va s’arrêter cette semaine. Si j’étais à votre place, je ne dormirais pas tranquille.
Invité- Invité
Re: Galerie des speechs de Cesaro
Tres bon rp, jai aimé, ta gimmick est vraiment bonne...
Baron Corbin- Messages : 115
Date d'inscription : 27/04/2016
Age : 42
Re: Galerie des speechs de Cesaro
[Antonio Cesaro est dans son bureau devant sa cheminée. Dans une main, il tient sa bouteille de whisky, dans l’autre, un cigare pas allumé. Il réfléchit sur ses contrats qu’il a perdu. Il appelle un de ses hommes de main et s’adresse à lui.]
Antonio Cesaro : Vous savez quel est le plus gros prédateur pour le chasseur ?
L’homme de main : Non.
Antonio Cesaro : C’est le buffle. Vous pouvez toujours lui tirer dessus, il continuera à vous charger. Même blessé à mort il vous traquera car il n’a qu’une seule chose en tête, c’est de vous tuer. Chris Hero a eu du mal à me gagner lors de shine bright. Je suis comme le buffle. Je le traquerais et je le battrais sur le ring. Je ne veux plus qu’il se mette entre moi et mon entreprise. Vous savez, Chris Hero et comme un cigare qu’on allume. Il se consume petit à petit. Il veut un match retour ? Aucun problème. Mais il doit savoir que je suis comme le phœnix. Je renais de mes cendres. Il m’a coûté pas mal d’argent. Mais cette fois-ci, il n’en n’est pas question. Je dois à tout prix mettre un terme à sa carrière. J’ai pas mal enquêté sur lui, et j’ai découvert qu’il a côtoyé assez souvent le monde de la lutte. Mais ici, c’est différent. Car je suis là. Il a remporté pas mal de combats. Mais cela doit cesser. C’est bizarre, mais je n’aime pas être contrarié. L’échec me laisse un mauvais goût amer. Je n’accepte pas que l’on me marche dessus. Ce misérable ne connait pas ce que j’ai vécu. Jamais il n’a été rabaissé à sa juste valeur par une famille étant plus jeune. Mais si j’en ai envie, je peux ruiner sa réputation. Qu’est-ce qu’il a pour lui au juste ? Ah oui. L’envie de ne résonner que par la violence.
[Antonio Cesaro allume son cigare et prend une gorgée de whisky. Il se lève et se met face à la fenêtre. Il reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Si je veux, je peux aussi le faire surveiller par la police pour ses agissements. Mais… Cela ne rentre pas dans mes cordes. Car que ferais-je avec la police entre lui et moi ? La semaine dernière, un flic a débarqué ici pour me coller au trou. Mais je suis plus malin que ça. Car comme je l’ai dit, j’ai le bras très long. En quelques minutes, il peut se retrouver SDF, sans un dollar en poche. Sans famille et sans amis. Et si je le veux, pour lui donner un ordre d’idée, je peux ruiner la carrière de Stéphanie McMahon et de Val Venis. Je peux aussi transformer cette fédération en bordel. Mais il y aurait un petit bémol. Pas mal de monde se retrouverait au chômage. Mais cela aurait aussi un gros avantage pour moi et mon empire. L’argent coulerait à flots. Et pas mal de clients pourraient me rapporter de l’argent. Chose que Chris Hero ne peux pas faire. Car je suis puissant, et lui non. Maintenant, je sais ce qu’il me reste à faire. Remporter le match et donner un « pot-de-vin » aux dirigeants de la DWF afin de me donner d’autres contrats qui pourraient rapporter beaucoup, beaucoup d’argent. Et en contrepartie, assurer leur protection. Mais il y a quelques closes à respecter. Je demanderais qu’ils me payent. Et oui, Chris Hero ne peut pas. Car il n’est pas aussi futé que moi. Il ne connait aucune valeur. Il n’a aucun honneur.
L’homme de main : Il y a un problème monsieur dans ce que vous dites. Comment rachèterez-vous la DWF ? L’argent manque cruellement.
Antonio Cesaro : C’est exactement ce que j’allais dire. L’entreprise manque d’argent, comme Chris Hero manque de talent et de pouvoir. Il n’a pas l’étoffe d’un homme persuasif. J’aimerais pouvoir l’aider, mais cela serait peine perdue. Lui et moi ne sommes pas pareils. L’excellence ne fait pas partie de son vocabulaire. C’est ce qui lui coûtera la victoire sur le ring. C’est pour cela que je reste confiant. Il n’a pas accès à la richesse, le bon whisky, les bons cigares et le confort d’un manoir. Son navire est ivre. Je pourrais le fracasser toutes voiles dehors contre une falaise. J’ai tout ce que je veux quand je le veux. Quand je dis que je VAIS détruire sa vie et faire le vide autour de lui, je le fais. Quand je parle, je choisis mes mots avec soin. Ce que Chris Hero est incapable de faire. Je ne suis pas comme la plupart des lutteurs de cette fédération. Eux ont une gimmick. Mais moi, quand je dis que je suis mafieux, c’est la stricte vérité. Il est hypocrite. Par devant, il chante une berceuse, et par derrière, il casse des briques sur le dos des autres. La franchise lui est inconnue. Et je vais lui dire franchement ce que je vais lui faire subir sur le ring cette semaine. Il peut dire adieu à sa carrière, sa famille et ses amis. Si j’étais à ta place Chris Hero, je ne dormirais pas tranquille.
[Fin de transmission.]
Antonio Cesaro : Vous savez quel est le plus gros prédateur pour le chasseur ?
L’homme de main : Non.
Antonio Cesaro : C’est le buffle. Vous pouvez toujours lui tirer dessus, il continuera à vous charger. Même blessé à mort il vous traquera car il n’a qu’une seule chose en tête, c’est de vous tuer. Chris Hero a eu du mal à me gagner lors de shine bright. Je suis comme le buffle. Je le traquerais et je le battrais sur le ring. Je ne veux plus qu’il se mette entre moi et mon entreprise. Vous savez, Chris Hero et comme un cigare qu’on allume. Il se consume petit à petit. Il veut un match retour ? Aucun problème. Mais il doit savoir que je suis comme le phœnix. Je renais de mes cendres. Il m’a coûté pas mal d’argent. Mais cette fois-ci, il n’en n’est pas question. Je dois à tout prix mettre un terme à sa carrière. J’ai pas mal enquêté sur lui, et j’ai découvert qu’il a côtoyé assez souvent le monde de la lutte. Mais ici, c’est différent. Car je suis là. Il a remporté pas mal de combats. Mais cela doit cesser. C’est bizarre, mais je n’aime pas être contrarié. L’échec me laisse un mauvais goût amer. Je n’accepte pas que l’on me marche dessus. Ce misérable ne connait pas ce que j’ai vécu. Jamais il n’a été rabaissé à sa juste valeur par une famille étant plus jeune. Mais si j’en ai envie, je peux ruiner sa réputation. Qu’est-ce qu’il a pour lui au juste ? Ah oui. L’envie de ne résonner que par la violence.
[Antonio Cesaro allume son cigare et prend une gorgée de whisky. Il se lève et se met face à la fenêtre. Il reprend la parole.]
Antonio Cesaro : Si je veux, je peux aussi le faire surveiller par la police pour ses agissements. Mais… Cela ne rentre pas dans mes cordes. Car que ferais-je avec la police entre lui et moi ? La semaine dernière, un flic a débarqué ici pour me coller au trou. Mais je suis plus malin que ça. Car comme je l’ai dit, j’ai le bras très long. En quelques minutes, il peut se retrouver SDF, sans un dollar en poche. Sans famille et sans amis. Et si je le veux, pour lui donner un ordre d’idée, je peux ruiner la carrière de Stéphanie McMahon et de Val Venis. Je peux aussi transformer cette fédération en bordel. Mais il y aurait un petit bémol. Pas mal de monde se retrouverait au chômage. Mais cela aurait aussi un gros avantage pour moi et mon empire. L’argent coulerait à flots. Et pas mal de clients pourraient me rapporter de l’argent. Chose que Chris Hero ne peux pas faire. Car je suis puissant, et lui non. Maintenant, je sais ce qu’il me reste à faire. Remporter le match et donner un « pot-de-vin » aux dirigeants de la DWF afin de me donner d’autres contrats qui pourraient rapporter beaucoup, beaucoup d’argent. Et en contrepartie, assurer leur protection. Mais il y a quelques closes à respecter. Je demanderais qu’ils me payent. Et oui, Chris Hero ne peut pas. Car il n’est pas aussi futé que moi. Il ne connait aucune valeur. Il n’a aucun honneur.
L’homme de main : Il y a un problème monsieur dans ce que vous dites. Comment rachèterez-vous la DWF ? L’argent manque cruellement.
Antonio Cesaro : C’est exactement ce que j’allais dire. L’entreprise manque d’argent, comme Chris Hero manque de talent et de pouvoir. Il n’a pas l’étoffe d’un homme persuasif. J’aimerais pouvoir l’aider, mais cela serait peine perdue. Lui et moi ne sommes pas pareils. L’excellence ne fait pas partie de son vocabulaire. C’est ce qui lui coûtera la victoire sur le ring. C’est pour cela que je reste confiant. Il n’a pas accès à la richesse, le bon whisky, les bons cigares et le confort d’un manoir. Son navire est ivre. Je pourrais le fracasser toutes voiles dehors contre une falaise. J’ai tout ce que je veux quand je le veux. Quand je dis que je VAIS détruire sa vie et faire le vide autour de lui, je le fais. Quand je parle, je choisis mes mots avec soin. Ce que Chris Hero est incapable de faire. Je ne suis pas comme la plupart des lutteurs de cette fédération. Eux ont une gimmick. Mais moi, quand je dis que je suis mafieux, c’est la stricte vérité. Il est hypocrite. Par devant, il chante une berceuse, et par derrière, il casse des briques sur le dos des autres. La franchise lui est inconnue. Et je vais lui dire franchement ce que je vais lui faire subir sur le ring cette semaine. Il peut dire adieu à sa carrière, sa famille et ses amis. Si j’étais à ta place Chris Hero, je ne dormirais pas tranquille.
[Fin de transmission.]
Invité- Invité
Re: Galerie des speechs de Cesaro
[En direct de l’ancien siège social de la WWE, à Stamford, dans le Connecticut. Antonio Cesaro consulte son prochain contrat contre le phénoménal, AJ Styles et arbore un léger sourire. Son dernier contrat contre Chris Hero lui a rapporté pas mal d’argent. Il prend la parole.]
Antonio Cesaro : Je suis extrêmement heureux. J’ai vaincu Chris Hero, et cela m’a permis de toucher un pactole fabuleux. Et maintenant, AJ Styles veut se mettre en travers de mon chemin. Qu’il vienne, même ici, cela pourrait lui refouler pas mal de souvenir. Car je compte racheter ce bâtiment avec l’argent que j’ai gagné dernièrement. Mais cela n’est pas sans risque. Car il devra m’affronter. Et… Même ici, je connais pas mal de monde. Qu’a-t-il fait à la WWE ? Il y est venu, puis il est reparti. Il a préféré la DWF. Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que je suis là. Bien présent. Je pense qu’à nouveau, je vais me faire beaucoup, beaucoup d’argent avec lui. Mais avant de rejoindre ces couloirs, il a fréquenté la WCW, la TNA, la ROH. Mais jamais il a trouvé chaussure à son pied. S’il veut un match d’homme à homme, aucun souci. Il veut se faire connaitre dans les couloirs de la DWF. Qu’il ne se fasse pas de souci là-dessus, car il sera connu… Il le sera dans les couloirs d’un hôpital, à se demander pourquoi il a fait ça. La semaine dernière, Stéphanie McMahon et Val Venis ont bien voulu me donner la victoire. Donc je pense qu’il y a un moyen de faire de même cette semaine. Ce qu’il n’a pas, c’est un cerveau pour réfléchir. Règle numéro un pour être mafieux : Avoir une bonne intelligence. Je vais citer la…
[Antonio Cesaro se fait couper la parole par son bras droit.]
Le bras droit d’Antonio Cesaro : Faites quand même attention avec AJ Styles. Il a quand même lutté au Japon. Et là-bas, ce ne sont pas des bras cassés. Là-bas, c’est le catch pur et dur. Et si votre carrière prend fin, je n’imagine pas comment va se porter l’entreprise à l’avenir.
Antonio Cesaro : Ce que je n’aime pas, c’est qu’on me coupe la parole. Maintenant, laisse-moi finir ce que j’ai à dire. Je vais maintenant citer la seconde règle pour être un bon mafieux : Connaitre du monde. Chose qu’AJ Styles n’a pas. La seule chose qu’il a, c’est le nom de ses trois enfants tatoué sur le corps. C’est émouvant. Cela montre à quel point il aime ses fils. Mais cela m’est égal. Ils vont voir la fin de la carrière de leur très cher papa face à moi. Lutter pour ses gosses, je n’y avais pas pensé avant. Mais… Ma seule famille, c’est mon empire que j’ai bâti. Le traitement que je vais lui infliger sera aussi légendaire que sa carrière. Qu’à-t-il fait avant ? Il s’est cherché une personnalité. S’il veut me faire flancher, il le peut. Mais ma neutralité en a fait faiblir plus d’un. Car je reste neutre, quoi qu’il arrive.
[Un architecte arrive avec des plans et un chef de chantier. Le chef prend la parole.]
Chef de chantier : Que faites-vous ici ? Vous n’avez pas le droit de rester là. Je vous ordonne de partir. Sinon, j’appelle la police.
Antonio Cesaro : Tu es marrant toi. C’est ce que j’allais dire à AJ Styles. Je vais lui dire tout simplement « tu n’as pas le droit de rester là, sinon, j’appelle quelques uns de mes contacts ». Mais c’est toi, le petit chef, qui n’a pas le droit de rester là. Tu es en terrain inconnu. Tout comme AJ Styles. Quand il mettra les pieds sur le ring de la DWF, il ne saura pas à quoi s’attendre. Ttout ce que je demande, c’est que PERSONNE ne traîne sur mon chemin. Maintenant, je t’ordonne de partir. Tu es sur mon terrain. Et AJ Styles sera sur mon ring. C’est quand même dingue, je ne peux pas faire mes plans sans que quelqu’un vienne m’importuner sur mon empire. Ce que je pense faire avec ces locaux, c’est faire un casino. Si AJ Styles veut disputer une partie de poker, de blackjack, il pourra. Mais il faudra qu’il aligne les biftons sur la table. Car je n’aime pas disputer une partie contre quelqu’un qui n’a rien sur lui. Et il n’a pas grand-chose comme munitions, à part le vécu qu’il a eu sur les anciennes fédérations. Mais je reste quand même méfiant. AJ Styles fait cela pour ses enfants. S’il veut se donner à fond sur le ring, il le fera. Mais je veux qu’il sache que moi aussi. La semaine dernière, j’ai tout donné. Et cela a payé. Je sens que cette semaine sera très bonne pour toucher quelques millions de dollars. Règle numéro trois pour être un bon mafieux : Savoir être persuasif. Je pense que le mot persuasion ne fait pas partie de son vocabulaire. Si j’étais à ta place AJ Styles, je ne dormirais pas tranquille.
[Fin de transmission]
Antonio Cesaro : Je suis extrêmement heureux. J’ai vaincu Chris Hero, et cela m’a permis de toucher un pactole fabuleux. Et maintenant, AJ Styles veut se mettre en travers de mon chemin. Qu’il vienne, même ici, cela pourrait lui refouler pas mal de souvenir. Car je compte racheter ce bâtiment avec l’argent que j’ai gagné dernièrement. Mais cela n’est pas sans risque. Car il devra m’affronter. Et… Même ici, je connais pas mal de monde. Qu’a-t-il fait à la WWE ? Il y est venu, puis il est reparti. Il a préféré la DWF. Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que je suis là. Bien présent. Je pense qu’à nouveau, je vais me faire beaucoup, beaucoup d’argent avec lui. Mais avant de rejoindre ces couloirs, il a fréquenté la WCW, la TNA, la ROH. Mais jamais il a trouvé chaussure à son pied. S’il veut un match d’homme à homme, aucun souci. Il veut se faire connaitre dans les couloirs de la DWF. Qu’il ne se fasse pas de souci là-dessus, car il sera connu… Il le sera dans les couloirs d’un hôpital, à se demander pourquoi il a fait ça. La semaine dernière, Stéphanie McMahon et Val Venis ont bien voulu me donner la victoire. Donc je pense qu’il y a un moyen de faire de même cette semaine. Ce qu’il n’a pas, c’est un cerveau pour réfléchir. Règle numéro un pour être mafieux : Avoir une bonne intelligence. Je vais citer la…
[Antonio Cesaro se fait couper la parole par son bras droit.]
Le bras droit d’Antonio Cesaro : Faites quand même attention avec AJ Styles. Il a quand même lutté au Japon. Et là-bas, ce ne sont pas des bras cassés. Là-bas, c’est le catch pur et dur. Et si votre carrière prend fin, je n’imagine pas comment va se porter l’entreprise à l’avenir.
Antonio Cesaro : Ce que je n’aime pas, c’est qu’on me coupe la parole. Maintenant, laisse-moi finir ce que j’ai à dire. Je vais maintenant citer la seconde règle pour être un bon mafieux : Connaitre du monde. Chose qu’AJ Styles n’a pas. La seule chose qu’il a, c’est le nom de ses trois enfants tatoué sur le corps. C’est émouvant. Cela montre à quel point il aime ses fils. Mais cela m’est égal. Ils vont voir la fin de la carrière de leur très cher papa face à moi. Lutter pour ses gosses, je n’y avais pas pensé avant. Mais… Ma seule famille, c’est mon empire que j’ai bâti. Le traitement que je vais lui infliger sera aussi légendaire que sa carrière. Qu’à-t-il fait avant ? Il s’est cherché une personnalité. S’il veut me faire flancher, il le peut. Mais ma neutralité en a fait faiblir plus d’un. Car je reste neutre, quoi qu’il arrive.
[Un architecte arrive avec des plans et un chef de chantier. Le chef prend la parole.]
Chef de chantier : Que faites-vous ici ? Vous n’avez pas le droit de rester là. Je vous ordonne de partir. Sinon, j’appelle la police.
Antonio Cesaro : Tu es marrant toi. C’est ce que j’allais dire à AJ Styles. Je vais lui dire tout simplement « tu n’as pas le droit de rester là, sinon, j’appelle quelques uns de mes contacts ». Mais c’est toi, le petit chef, qui n’a pas le droit de rester là. Tu es en terrain inconnu. Tout comme AJ Styles. Quand il mettra les pieds sur le ring de la DWF, il ne saura pas à quoi s’attendre. Ttout ce que je demande, c’est que PERSONNE ne traîne sur mon chemin. Maintenant, je t’ordonne de partir. Tu es sur mon terrain. Et AJ Styles sera sur mon ring. C’est quand même dingue, je ne peux pas faire mes plans sans que quelqu’un vienne m’importuner sur mon empire. Ce que je pense faire avec ces locaux, c’est faire un casino. Si AJ Styles veut disputer une partie de poker, de blackjack, il pourra. Mais il faudra qu’il aligne les biftons sur la table. Car je n’aime pas disputer une partie contre quelqu’un qui n’a rien sur lui. Et il n’a pas grand-chose comme munitions, à part le vécu qu’il a eu sur les anciennes fédérations. Mais je reste quand même méfiant. AJ Styles fait cela pour ses enfants. S’il veut se donner à fond sur le ring, il le fera. Mais je veux qu’il sache que moi aussi. La semaine dernière, j’ai tout donné. Et cela a payé. Je sens que cette semaine sera très bonne pour toucher quelques millions de dollars. Règle numéro trois pour être un bon mafieux : Savoir être persuasif. Je pense que le mot persuasion ne fait pas partie de son vocabulaire. Si j’étais à ta place AJ Styles, je ne dormirais pas tranquille.
[Fin de transmission]
Invité- Invité
Re: Galerie des speechs de Cesaro
[En direct de Brooklyn, dans un bar appartenant à Cesaro. Une serveuse arrive vers Antonio Cesaro pour lui servir un verre de whisky. Il prend la parole.]
Antonio Cesaro : Vous savez pourquoi j’ai gagné ces deux dernières semaines ?
La serveuse : Parce que vous êtes fort.
Antonio Cesaro : Ha ha ha… Vous me faites rire. Non, ce n’est pas une question d’être fort ou non. C’est juste une question de chance et d’argent passé sous la table. AJ Styles en a fait les frais la semaine dernière. Et cette fois-ci, il veut remettre le couvert avec Fergal Devitt. Ou Finn Bàlor si vous préférez. Mais cette fois-ci, moi aussi je serais accompagné. Non, pas par un de mes hommes de main, mais de Brooklyn Brawler. Généralement, je n’ai besoin de personne pour créer ma propre chance. A part d’argent, histoire de soudoyer quelqu’un de haut placé. Si j’ai gagné contre AJ Styles, c’est parce que j’ai eu suffisamment de matière grise pour acheter ma victoire. Cela peut paraitre dingue, mais ça fonctionne et tout le monde s’en tire gagnant. Grâce à ça, le chiffre d’affaire de mon empire a augmenté de 60 %. Il m’en manque encore un peu pour racheter la DWF afin d’en faire un casino. Mais je ne vais pas rester là-dessus longtemps. Je dois à présent me concentrer sur mon prochain contrat. Car il pourrait me rapporter très gros.
[Antonio Cesaro boit une gorgée de whisky et allume un cigare. Le barman le coupe dans son élan.]
Le barman : Il est interdit de fumer ici monsieur.
Antonio Cesaro : Tiens. Tu es un marrant toi. Il est interdit de m’interdire de fumer chez moi. Tu veux te retrouver à dormir sous les ponts ? Avec Fergal Devitt et AJ Styles ? Ou tu veux continuer à travailler ici pour quelques dollars en plus. Tout ce que je demande. C’est que l’on me laisse appréhender mon prochain contrat. Et de réfléchir à une solution durable et fiable. AJ Styles veut un match avec son acolyte Fergal contre moi. Mais ha ha… J’ai réussi à convaincre quelqu’un de se lier à moi. Brooklyn Brawler.
[Un homme de main arrive et interrompt Antonio Cesaro.]
L’homme de main : Euh… Non monsieur, ce n’est pas exactement comme ça que cela s’est passé. C’est plutôt Val Venis et Stephanie McMahon qui vous a délivré ce contrat.
Antonio Cesaro : Tais-toi donc. Oui, en effet. Mais grâce à quoi ? A l’argent que je leur ai passé sous la table. AJ Styles a fais quoi lui pour convaincre quelqu’un ? Rien. Il a laissé le temps passer. Tu te souviens les règles que j’ai citées la semaine dernière ? Où il faut que je te rafraichisse la mémoire.
L’homme de main : Oui oui. Je m’en souviens.
Antonio Cesaro : A la bonne heure… Ils croient quoi ces deux rigolos, qu’ils vont me la faire ? Je ne suis pas né de la dernière pluie. Ils croient qu’ils vont se mettre entre moi et mon empire pour me faire tomber ? Il ne faut pas non plus rêver. Mon empire ne coûte bien plus cher que leurs têtes. Je ne me fais pas de plans sur la comète. Car ils peuvent gagner. Car je n’accorde pas une grande confiance à Brooklyn Brawler. Disons que l’on m’a forcé la main pour l’engager à mes côtés. Je pense fortement qu’il faudra que je fasse le boulot moi-même. Ou alors, ce que je peux faire, c’est lui citer les bases pour gagner un contrat. Mais cela serait trop long. Et je n’aime pas parler dans le vide. Cependant, une question trotte dans ma tête depuis un petit moment. Qui est Finn Bàlor ? Ah oui. C’est vrai. C’est celui qui se cache derrière le masque du bon samaritain. Celui qui, tous les jours va aider la mamie du coin à ranger ses courses.
L’homme de main : Et AJ Styles dans cette histoire, que devient-il ?
Antonio Cesaro : Tu permets ? Je pense qu’AJ Styles est désormais hors circuit. S’en est fini pour lui. Sa carrière sera désormais chez lui, devant un bol de soupe et ses trois enfants pour lui faire la conversation et l’aider à remonter la pente. Sa vie ne va se résumer qu’à ça. Il va encore et encore se demander ce qu’il a voulu faire contre moi. Et cela est valable pour Fergal Devitt. Dans la vie, il y a deux catégories de personnes. Ceux qui réussissent, et ceux qui essayent. Moi, je suis dans la première catégorie. Et AJ Styles fait partie de la seconde, tout comme Fergal Devitt. Si j’étais à votre place, je ne dormirais pas tranquille.
[Fin de transmission]
Antonio Cesaro : Vous savez pourquoi j’ai gagné ces deux dernières semaines ?
La serveuse : Parce que vous êtes fort.
Antonio Cesaro : Ha ha ha… Vous me faites rire. Non, ce n’est pas une question d’être fort ou non. C’est juste une question de chance et d’argent passé sous la table. AJ Styles en a fait les frais la semaine dernière. Et cette fois-ci, il veut remettre le couvert avec Fergal Devitt. Ou Finn Bàlor si vous préférez. Mais cette fois-ci, moi aussi je serais accompagné. Non, pas par un de mes hommes de main, mais de Brooklyn Brawler. Généralement, je n’ai besoin de personne pour créer ma propre chance. A part d’argent, histoire de soudoyer quelqu’un de haut placé. Si j’ai gagné contre AJ Styles, c’est parce que j’ai eu suffisamment de matière grise pour acheter ma victoire. Cela peut paraitre dingue, mais ça fonctionne et tout le monde s’en tire gagnant. Grâce à ça, le chiffre d’affaire de mon empire a augmenté de 60 %. Il m’en manque encore un peu pour racheter la DWF afin d’en faire un casino. Mais je ne vais pas rester là-dessus longtemps. Je dois à présent me concentrer sur mon prochain contrat. Car il pourrait me rapporter très gros.
[Antonio Cesaro boit une gorgée de whisky et allume un cigare. Le barman le coupe dans son élan.]
Le barman : Il est interdit de fumer ici monsieur.
Antonio Cesaro : Tiens. Tu es un marrant toi. Il est interdit de m’interdire de fumer chez moi. Tu veux te retrouver à dormir sous les ponts ? Avec Fergal Devitt et AJ Styles ? Ou tu veux continuer à travailler ici pour quelques dollars en plus. Tout ce que je demande. C’est que l’on me laisse appréhender mon prochain contrat. Et de réfléchir à une solution durable et fiable. AJ Styles veut un match avec son acolyte Fergal contre moi. Mais ha ha… J’ai réussi à convaincre quelqu’un de se lier à moi. Brooklyn Brawler.
[Un homme de main arrive et interrompt Antonio Cesaro.]
L’homme de main : Euh… Non monsieur, ce n’est pas exactement comme ça que cela s’est passé. C’est plutôt Val Venis et Stephanie McMahon qui vous a délivré ce contrat.
Antonio Cesaro : Tais-toi donc. Oui, en effet. Mais grâce à quoi ? A l’argent que je leur ai passé sous la table. AJ Styles a fais quoi lui pour convaincre quelqu’un ? Rien. Il a laissé le temps passer. Tu te souviens les règles que j’ai citées la semaine dernière ? Où il faut que je te rafraichisse la mémoire.
L’homme de main : Oui oui. Je m’en souviens.
Antonio Cesaro : A la bonne heure… Ils croient quoi ces deux rigolos, qu’ils vont me la faire ? Je ne suis pas né de la dernière pluie. Ils croient qu’ils vont se mettre entre moi et mon empire pour me faire tomber ? Il ne faut pas non plus rêver. Mon empire ne coûte bien plus cher que leurs têtes. Je ne me fais pas de plans sur la comète. Car ils peuvent gagner. Car je n’accorde pas une grande confiance à Brooklyn Brawler. Disons que l’on m’a forcé la main pour l’engager à mes côtés. Je pense fortement qu’il faudra que je fasse le boulot moi-même. Ou alors, ce que je peux faire, c’est lui citer les bases pour gagner un contrat. Mais cela serait trop long. Et je n’aime pas parler dans le vide. Cependant, une question trotte dans ma tête depuis un petit moment. Qui est Finn Bàlor ? Ah oui. C’est vrai. C’est celui qui se cache derrière le masque du bon samaritain. Celui qui, tous les jours va aider la mamie du coin à ranger ses courses.
L’homme de main : Et AJ Styles dans cette histoire, que devient-il ?
Antonio Cesaro : Tu permets ? Je pense qu’AJ Styles est désormais hors circuit. S’en est fini pour lui. Sa carrière sera désormais chez lui, devant un bol de soupe et ses trois enfants pour lui faire la conversation et l’aider à remonter la pente. Sa vie ne va se résumer qu’à ça. Il va encore et encore se demander ce qu’il a voulu faire contre moi. Et cela est valable pour Fergal Devitt. Dans la vie, il y a deux catégories de personnes. Ceux qui réussissent, et ceux qui essayent. Moi, je suis dans la première catégorie. Et AJ Styles fait partie de la seconde, tout comme Fergal Devitt. Si j’étais à votre place, je ne dormirais pas tranquille.
[Fin de transmission]
Invité- Invité
Re: Galerie des speechs de Cesaro
[En direct d’un bureau de la DWF. Antonio Cesaro se remet lentement de sa défaite de la semaine dernière. Le gros bras de son organisation lui donne son prochain contrat contre Shawn Michaels.]
Antonio Cesaro : Ma défaite de la semaine dernière a fait un gros préjudice dans la caisse de l’empire. Mais je reste quand même confiant. Car Val Venis, Stephanie McMahon et moi allons signer un contrat. Je pourrais très bien acheter ma victoire contre Shawn Michaels et lui laisser le droit d’aller pleurer chez sa femme et ses enfants et se demander ce qu’il a voulu tenter contre moi. J’ai tout ce qu’il faut et je sais l’utiliser quand il le faut car j’ai suffisamment de matière grise pour mettre tout ça à contribution. Dois-je me méfier de lui ? Non, je ne pense pas. Car il est vieillissant. Et il n’est pas dirigeant d’un empire.
[Un homme de main arrive et interrompt Antonio Cesaro.]
L’homme de main : Si vous savez quelle carrière il a eu, vous vous raviserez de dire ça.
Antonio Cesaro : Tu remets en doute mes propos ?
L’homme de main : Euh… Non, mais je vous dis juste de faire attention.
Antonio Cesaro : La seule chose que je reproche à mon empire, c’est que mes hommes de main sont tous des bras cassés. Tout comme Shawn Michaels. Maintenant, il n’est bon que pour jouer aux cartes avec le club du troisième âge. S’il a signé ici, c’est juste que chez lui, il ne savait plus comment tuer le temps. Alors, il s’est dit « tiens, pourquoi ne pas signer à la DWF ». Il devait s’ennuyer avec sa femme. Mais il aurait dû réfléchir. Car dans ces couloirs, je vais me dresser sur son chemin. Il y a bien longtemps que le feu ne brûle plus dans ses yeux. La passion n’est plus au rendez-vous. Et je serais là pour lui montrer. Sur le ring, dans un combat d’homme à homme. Cette fédération a besoin de sang neuf. Mais je dois avant tout mettre un terme clair et définitif à sa carrière. Pour que cette fédération fasse peau neuve, je dois m’entretenir avec Val Venis et Stephanie McMahon afin d’avoir MON casino, MON bar et MON bureau, avec aussi, MA secrétaire privée. Et avant tout, pour divertir tout ce beau monde, construire un Strip Club.
L’homme de main : Mais, qu’allez-vous leur dire ? Car vous n’êtes pas le dirigeant.
Antonio Cesaro : Tu remets encore un fois en doute mes propos, je te vire. Je saurais être très persuasif. Mon nom sera sur l’enseigne. Il y aura écrit « Cesaro property of the company Dope Wrestling Federation . Pro Wrestling. Casino. Strip Club.» Et je verrais bien Shawn Michaels se faire refouler à l’entrée par le vigile. Déjà que je vais sans doute le battre cette semaine. Bientôt, les parts de la DWF seront à moi, et mon chiffre d’affaire se verra augmenter. Je vais bien sûr augmenter le salaire de tous les lutteurs, et bien évidemment, car je ne suis pas un monstre, payer une petite partie des soins de Shawn Michaels une fois que je l’aurais mis en civière. J’ai aussi vu qu’il y avait un héliport sur le toit de ce building. Seul mon hélicoptère privé pourra s’y poser.
L’homme de main : Et vous avez pensé à l’hélicoptère des équipes de secours ?
Antonio Cesaro : Pour une fois que tu n’es pas idiot. J’allais y venir. J’ai même réservé un joli hélicoptère pour Shawn Michaels. A l’intérieur, aucun matériel de survie. Car quand il s’est mis en tête qu’il allait me battre, il n’a pas prévu de coups en douce. Il n’a aucunes munitions sous le coude. Car son cerveau se limite qu’à une seule chose. « Faire l’idiot en me frottant au mafieux sur un ring devant mon public. Et me faire laminer comme une petite fille devant la chose qui me sert de femme et mes enfants. » Sérieusement. Que va tenter Shawn Michaels ? Une prise de finition ? Et encore, je suis gentil quand je dis ça. Car je serais déjà dans ma limousine à siroter mon whisky préféré et à fumer les meilleurs cigares de la terre. Mon compte en banque vaut LARGEMENT plus cher que sa peau. Si je gagne, je serais sans doute l’homme le plus riche de ce pays qui est l’Amérique. Si j’étais à ta place Shawn Michaels, je ne dormirais pas tranquille.
[Fin de transmission.]
Antonio Cesaro : Ma défaite de la semaine dernière a fait un gros préjudice dans la caisse de l’empire. Mais je reste quand même confiant. Car Val Venis, Stephanie McMahon et moi allons signer un contrat. Je pourrais très bien acheter ma victoire contre Shawn Michaels et lui laisser le droit d’aller pleurer chez sa femme et ses enfants et se demander ce qu’il a voulu tenter contre moi. J’ai tout ce qu’il faut et je sais l’utiliser quand il le faut car j’ai suffisamment de matière grise pour mettre tout ça à contribution. Dois-je me méfier de lui ? Non, je ne pense pas. Car il est vieillissant. Et il n’est pas dirigeant d’un empire.
[Un homme de main arrive et interrompt Antonio Cesaro.]
L’homme de main : Si vous savez quelle carrière il a eu, vous vous raviserez de dire ça.
Antonio Cesaro : Tu remets en doute mes propos ?
L’homme de main : Euh… Non, mais je vous dis juste de faire attention.
Antonio Cesaro : La seule chose que je reproche à mon empire, c’est que mes hommes de main sont tous des bras cassés. Tout comme Shawn Michaels. Maintenant, il n’est bon que pour jouer aux cartes avec le club du troisième âge. S’il a signé ici, c’est juste que chez lui, il ne savait plus comment tuer le temps. Alors, il s’est dit « tiens, pourquoi ne pas signer à la DWF ». Il devait s’ennuyer avec sa femme. Mais il aurait dû réfléchir. Car dans ces couloirs, je vais me dresser sur son chemin. Il y a bien longtemps que le feu ne brûle plus dans ses yeux. La passion n’est plus au rendez-vous. Et je serais là pour lui montrer. Sur le ring, dans un combat d’homme à homme. Cette fédération a besoin de sang neuf. Mais je dois avant tout mettre un terme clair et définitif à sa carrière. Pour que cette fédération fasse peau neuve, je dois m’entretenir avec Val Venis et Stephanie McMahon afin d’avoir MON casino, MON bar et MON bureau, avec aussi, MA secrétaire privée. Et avant tout, pour divertir tout ce beau monde, construire un Strip Club.
L’homme de main : Mais, qu’allez-vous leur dire ? Car vous n’êtes pas le dirigeant.
Antonio Cesaro : Tu remets encore un fois en doute mes propos, je te vire. Je saurais être très persuasif. Mon nom sera sur l’enseigne. Il y aura écrit « Cesaro property of the company Dope Wrestling Federation . Pro Wrestling. Casino. Strip Club.» Et je verrais bien Shawn Michaels se faire refouler à l’entrée par le vigile. Déjà que je vais sans doute le battre cette semaine. Bientôt, les parts de la DWF seront à moi, et mon chiffre d’affaire se verra augmenter. Je vais bien sûr augmenter le salaire de tous les lutteurs, et bien évidemment, car je ne suis pas un monstre, payer une petite partie des soins de Shawn Michaels une fois que je l’aurais mis en civière. J’ai aussi vu qu’il y avait un héliport sur le toit de ce building. Seul mon hélicoptère privé pourra s’y poser.
L’homme de main : Et vous avez pensé à l’hélicoptère des équipes de secours ?
Antonio Cesaro : Pour une fois que tu n’es pas idiot. J’allais y venir. J’ai même réservé un joli hélicoptère pour Shawn Michaels. A l’intérieur, aucun matériel de survie. Car quand il s’est mis en tête qu’il allait me battre, il n’a pas prévu de coups en douce. Il n’a aucunes munitions sous le coude. Car son cerveau se limite qu’à une seule chose. « Faire l’idiot en me frottant au mafieux sur un ring devant mon public. Et me faire laminer comme une petite fille devant la chose qui me sert de femme et mes enfants. » Sérieusement. Que va tenter Shawn Michaels ? Une prise de finition ? Et encore, je suis gentil quand je dis ça. Car je serais déjà dans ma limousine à siroter mon whisky préféré et à fumer les meilleurs cigares de la terre. Mon compte en banque vaut LARGEMENT plus cher que sa peau. Si je gagne, je serais sans doute l’homme le plus riche de ce pays qui est l’Amérique. Si j’étais à ta place Shawn Michaels, je ne dormirais pas tranquille.
[Fin de transmission.]
Invité- Invité
Re: Galerie des speechs de Cesaro
[Antonio Cesaro est dans son bureau. Il a encore sa défaite contre Shawn Michaels en travers de la gorge. Il réfléchit à une solution pour augmenter son chiffre d’affaire. Il prend la parole.]
Antonio Cesaro : Ma défaite contre Shawn Michaels a laissé un très gros préjudice dans mes chiffres d’affaires. Mais… Pour ce contrat, ça risque de mal se passer. Car il y aura un autre homme. Sami Callihan. Mais il y a une différence entre lui et moi. Il veut faire comprendre à la DWF pourquoi on l’appelle la nouvelle horreur. Mais il ne sait pas que je suis là. Sa vie est comme un château de cartes. Il va s’effondrer car il va tomber sur moi. J’ai misé très gros pour sa tête. En France, il existe un jeu de cartes appelé le tarot. C’est un jeu assez ancien. Il faut beaucoup d’atouts pour remporter une partie.
[Deux hommes arrivent dans le bureau. Il s’agit de deux hommes de main déguisés en Sami Callihan et en Shawn Michaels. Le faux Shawn Michaels prend la parole.]
Fake Shawn Michaels : Que faites-vous Mr Cesaro avec ce paquet de cartes ?
Antonio Cesaro : Que dirais-tu de disputer une partie de tarot avec moi ? Mais si tu veux gagner, tu as intérêt à avoir du bon jeu. Car ça risque d’être comme sur le ring. Ca risque de faire mal. Tu sais que dans ce jeu, il y a trois cartes maitresses qu’on appelle des oudlers. Le premier appelé « petit ». Il s’agit de l’atout le plus faible car son numéro est le « 1 ». Tu es comme cette carte Shawn, faible et vulnérable car souviens-toi. Ton vieil ami Triple H est venu à ta rescousse pour t’aider à gagner. Mais tu dois savoir que la vengeance est un plat qui se mange froid. Un autre oudler appelé « excuse ». Cette carte n’a pas de numéro. Car elle est marquée d’une étoile. Si tu dois t’excuser de m’avoir gagné, c’est trop tard. Car je n’aime pas les gens qui se défilent en s’excusant. Et il y a un dernier oudler. Celui-ci est le plus gros. Cette carte porte le numéro « 21 ». Cette carte est comme moi. Car je compte bien l’avoir dans mon jeu. Le but du jeu est de remplir des contrats. Si les trois oudlers sont dans mon jeu, mon contrat s’élève à 36 points. Si deux oudlers sont dans mon jeu, 41 points suffisent à gagner. Si je ne possède qu’un seul oudler, 51 points sont nécessaires pour gagner. En revanche, si je n’en possède aucun, je dois totaliser 56 points pour gagner.
[Le faux Sami Callihan prend la parole car il ne comprend pas trop la règle du jeu.]
Fake Sami Callihan : Mais c’est quoi cette histoire de contrat ?
Antonio Cesaro : Tu ne comprends vraiment rien toi. Pourtant, c’est clair. Dans ce jeu, je vais remporter le contrat. Et sur le ring aussi. Si je vous compare à un jeu de tarot, ce n’est pas pour rien. Shawn Michaels est comme le petit. Tu sais, cette carte portant le numéro « 1 ». Il est faible et vieillissant. Et toi Sami, tu es comme l’excuse. Je sais que tu vas te défiler car tu ne vas pas oser prendre de risques. Et parfois, dans la vie, il faut savoir en prendre. Car MOI, je prends un risque énorme pour espérer remporter ce contrat. Je verrais mes chiffres d’affaires augmenter. C’est pour cela que je compare ce contrat à une partie de tarot. Car les trois oudlers vont s’affronter sur le ring. Le « petit » et « l’excuse » contre le « 21 ». Je dois dire pour ce contrat. Triple menace, trois fois plus de bénéfices. Comment sont vos atouts ? Faibles. Quel est votre jeu ? Pas suffisant pour gagner. Car je ne compte pas vous laisser vous mettre entre moi et mon empire. JAMAIS je ne vous laisserais me vaincre. Mon empire coûte plus cher que vos deux têtes réunis. Je ne sais pas si vous le savez, mais c’est une belle journée pour toucher pas mal d’argent. Si j’étais à votre place, je ne dormirais pas tranquille.
[Fin de transmission]
Antonio Cesaro : Ma défaite contre Shawn Michaels a laissé un très gros préjudice dans mes chiffres d’affaires. Mais… Pour ce contrat, ça risque de mal se passer. Car il y aura un autre homme. Sami Callihan. Mais il y a une différence entre lui et moi. Il veut faire comprendre à la DWF pourquoi on l’appelle la nouvelle horreur. Mais il ne sait pas que je suis là. Sa vie est comme un château de cartes. Il va s’effondrer car il va tomber sur moi. J’ai misé très gros pour sa tête. En France, il existe un jeu de cartes appelé le tarot. C’est un jeu assez ancien. Il faut beaucoup d’atouts pour remporter une partie.
[Deux hommes arrivent dans le bureau. Il s’agit de deux hommes de main déguisés en Sami Callihan et en Shawn Michaels. Le faux Shawn Michaels prend la parole.]
Fake Shawn Michaels : Que faites-vous Mr Cesaro avec ce paquet de cartes ?
Antonio Cesaro : Que dirais-tu de disputer une partie de tarot avec moi ? Mais si tu veux gagner, tu as intérêt à avoir du bon jeu. Car ça risque d’être comme sur le ring. Ca risque de faire mal. Tu sais que dans ce jeu, il y a trois cartes maitresses qu’on appelle des oudlers. Le premier appelé « petit ». Il s’agit de l’atout le plus faible car son numéro est le « 1 ». Tu es comme cette carte Shawn, faible et vulnérable car souviens-toi. Ton vieil ami Triple H est venu à ta rescousse pour t’aider à gagner. Mais tu dois savoir que la vengeance est un plat qui se mange froid. Un autre oudler appelé « excuse ». Cette carte n’a pas de numéro. Car elle est marquée d’une étoile. Si tu dois t’excuser de m’avoir gagné, c’est trop tard. Car je n’aime pas les gens qui se défilent en s’excusant. Et il y a un dernier oudler. Celui-ci est le plus gros. Cette carte porte le numéro « 21 ». Cette carte est comme moi. Car je compte bien l’avoir dans mon jeu. Le but du jeu est de remplir des contrats. Si les trois oudlers sont dans mon jeu, mon contrat s’élève à 36 points. Si deux oudlers sont dans mon jeu, 41 points suffisent à gagner. Si je ne possède qu’un seul oudler, 51 points sont nécessaires pour gagner. En revanche, si je n’en possède aucun, je dois totaliser 56 points pour gagner.
[Le faux Sami Callihan prend la parole car il ne comprend pas trop la règle du jeu.]
Fake Sami Callihan : Mais c’est quoi cette histoire de contrat ?
Antonio Cesaro : Tu ne comprends vraiment rien toi. Pourtant, c’est clair. Dans ce jeu, je vais remporter le contrat. Et sur le ring aussi. Si je vous compare à un jeu de tarot, ce n’est pas pour rien. Shawn Michaels est comme le petit. Tu sais, cette carte portant le numéro « 1 ». Il est faible et vieillissant. Et toi Sami, tu es comme l’excuse. Je sais que tu vas te défiler car tu ne vas pas oser prendre de risques. Et parfois, dans la vie, il faut savoir en prendre. Car MOI, je prends un risque énorme pour espérer remporter ce contrat. Je verrais mes chiffres d’affaires augmenter. C’est pour cela que je compare ce contrat à une partie de tarot. Car les trois oudlers vont s’affronter sur le ring. Le « petit » et « l’excuse » contre le « 21 ». Je dois dire pour ce contrat. Triple menace, trois fois plus de bénéfices. Comment sont vos atouts ? Faibles. Quel est votre jeu ? Pas suffisant pour gagner. Car je ne compte pas vous laisser vous mettre entre moi et mon empire. JAMAIS je ne vous laisserais me vaincre. Mon empire coûte plus cher que vos deux têtes réunis. Je ne sais pas si vous le savez, mais c’est une belle journée pour toucher pas mal d’argent. Si j’étais à votre place, je ne dormirais pas tranquille.
[Fin de transmission]
Invité- Invité
Re: Galerie des speechs de Cesaro
J'ai aimé ton dernier RP. Si seulement tu pouvais ajouter un petit + sur ta présentation. Par contre, ne connaissant rien au tarot, c'était plus difficile de comprendre tous les parallèles...
Stephanie McMahon- Messages : 472
Date d'inscription : 23/03/2016
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